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Et les lauréats du Prix national de la construction bois sont…

Depuis 2012, le Prix national de la construction bois (PNCB) valorise l’architecture frugale. Il met en lumière des ouvrages architecturaux, du quotidien à l’exceptionnel, provenant de l’ensemble du territoire français.

Pour l’édition 2022, parmi les 549 candidatures déposées, quatre lauréats ont finalement été retenus dans chacune des catégories du concours : bâtiment public ou tertiaire, maison individuelle, aménagement intérieur ou extérieur et logement collectif. Le jury a choisi également de décerner deux mentions spéciales pour des innovations sociales et techniques.

Les projets lauréats sont :

  • Aménagement intérieur ou extérieur : Passerelle Mirador, L’Isle-sur-le-Doubs (Doubs), cabinets Goetschy et Cabello Architecture (68)
  • Bâtiment public ou tertiaire : Maison de santé, Liffol-le-Grand (Vosges), Studiolada Architectes (54)
  • Logement collectif : Projet « Pop Acte », logements participatifs, Le Havre (Seine-Maritime), Atelier Bettinger Desplanques (76)
  • Maison individuelle : Maison sur la ruine, Fontans (Lozère), LCD’O Atelier d’architecture Prima&Allart (48)

Et les mentions spéciales :

  • Innovation sociale : Le Faré du lycée, Koungou (Mayotte), Encore Heureux Architectes (75) et Co-Architectes (974)
  • Innovation technique : Le Haut Bois, Grenoble (Isère), ASP Architecture (88) et Atelier 17C-Architectes (38)

« À l’heure où la sobriété énergétique est devenue un enjeu fondamental pour la construction, le Prix national de la construction bois vient matérialiser les possibilités offertes par ce matériau et mettre en lumière le savoir-faire des spécialistes de la filière, souligne Paul Jarquin, président de Fibois France. Sur les plans technique, environnental ou architectural, les projets victorieux démontrent leur capacité à s’inscrire au cœur des besoins actuels des professionnels du bâtiment tout en répondant aux défis de notre époque. »

 

Photo à la une : Pop Acte, logements participatifs au Havre par Atelier Bettinger Desplanques. © Paul Kozlowski